Les Nouuelles Recreations et Joyeux deuis de feu Bonauenture Des Periers, valet de chambre de la Royne de Nauarre

Bibliographische Daten

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Allgemein

Kategorie:
Druckschriften
UrheberIn/BeteiligteR:
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Datierung:
1558
Erscheinungsort:
Lyon
Produktionsstätte:
Granjon
Maße / Umfang:
[6], CVII, [1] Bl. ; 4°

Weitere Informationen

Objekttyp:
Text
Sammlung:
Landesbibliothek Oldenburg - Die Bibliothek des Georg Friedrich Brandes - Sammelkultur im Geist der Aufklärung
Einrichtung:
Landesbibliothek Oldenburg
Aufbewahrungsort:
Landesbibliothek Oldenburg
Identifikator:
SPR XV 2 129

Administrative Daten

Link zur Seite:
https://ku-ni.de/isil_DE-45_urn_nbn_de_gbv_45_1-4095
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Lizenz der Digitalisate:
https://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0/deed.de

Weitere Information:
http://nbn-resolving.de/urn:nbn:de:gbv:45:1-4095

Inhalt

Inhalt

  • Les Nouuelles Recreations et Joyeux deuis de feu Bonauenture Des Periers, valet de chambre de la Royne de Nauarre
  • Du Gascon qui donna à son pere à choisir des oeufz.
  • Vorderdeckel
  • Buchrücken
  • Vorsatz
  • Besitznachweis
  • Farbkarte
  • Titelseite
  • Extraict du Priuilege Du Roy.
  • Sonnet.
  • L'Imprimeur au Lecteur, Salut.
  • Table des Nouuelles Recreations selon leur ordre.
  • Premiere Nouuelle en forme de Preambule.
  • Des troys folz Caillette, Triboulet, et Polite.
  • Du Chantre, bassecontre de Sainct Hilaire de Poytiers, qui accompara les chanoines à leurs potages.
  • Du bassecontre de Reims, Chantre, Picard, et maistre es arts.
  • Des trois Soeurs nouuelles espouses, qui respondirent chacune un bon mot à leur mary la premiere nuict de leurs nopces.
  • Du mary de Picardie qui retira sa femme de l'amour, pour une remonstrance qu'il luy fit en la presence des parens d'elle.
  • Du Normand allant à Romme qui fit prouision de latin pour porter au Sainct Pere, et comment il s'en ayda.
  • Du Procureur qui fit venir une ieune garse du village pour s'en seruir : et de son clerc qui la luy essaya.
  • De celuy qui acheua l'oreille de l'enfant à la femme de son voisin.
  • De Fouquet qui fit accroire au procureur en chastellet son maistre que le bon homme estoit sourd : et au bon homme que le procureur l'estoit : et comment le Procureur se vengea de Fouquet.
  • D'un docteur en decret qu'un beuf blessa si fort, qu'il ne scauoit en quelle jambe c'estoit.
  • Comparaison des Alquemistes à la bonne femme qui portoit une potée de lait au marché.
  • Du Roy Salomon, qui fit la pierre philosophale : Et la cause pourquoy les Alquemistes ne viennent au dessus de leurs Intentions.
  • De l'aduocat qui parloit latin à sa chambriere : et du clerc qui estoit le truchement.
  • Du Cardinal de Luxembourg, & de la bonne femme qui vouloit faire son filz prestre, qui n'auoit point de tesmoings : & comment ledit Cardinal se nomma Philippot.
  • De l'enfant de Paris nouuellement marié : et de Beaufort qui trouua un subtil moyen de iouyr de sa femme, nonobstant la songneuse garde de dame Pernette.
  • De l'aduocat en parlement, qui fit abbatre sa barbe pour la pareille : & du disner qu'il donna à ses amys.
  • De Cillet le menuzier, comment il se vengea du leurier qui luy venoit manger son disner.
  • Du sauetier Blondeau, qui ne fut onq en sa vie melancholie que deux fois : et comment il y pourueut. Et de son Epitaphe.
  • Des trois freres qui cuiderent estre penduz pour leur Latin.
  • Du jeune filz qui fit valloir le beau Latin que son Curé luy auoit monstré.
  • D'un prestre qui ne disoit aultre mot, que Jesus en son Euangile.
  • De maistre Pierre faifeu qui eut des botes qui ne luy cousterent rien, et des Copieux de la fleche en Anjou.
  • De maistre Arnaud qui emmena la hacquenée d'un Italien en Lorraine, et la rendit au bout de neuf mois.
  • Du Conseillier, et de son pallefrenier qui luy rendit sa mule vielle en guise d'une jeune.
  • Des Copieux de la fleche en Aniou, comment ilz furent trompez par Piquet au moyen d'une lamproye.
  • De l'asne ombrageux, qui auoit peur quand on ostoit le bonnet : Et de Sainct chelault et Croisé qui chausserent les chausses l'un de l'aultre.
  • Du Preuost Coquillaire, malade des yeux : auquel les medecins faisoyent accroire qu'il voyoit.
  • Des finesses et actes memorables d'un Regnard qui estoit au Bailly du Maine la Juhes.
  • De maistre Iehan du Pontalais, comment il la bailla bonne au barbier d'estuues qui faisoit le braue.
  • De ma dame la Fourriere, qui logea le gentilhomme au large.
  • Du gentilhomme qui auoit couru la poste: et du coq qui ne pouuoit chaucher.
  • Du Curé de Brou, et des bons tours qu'il faisoit en son viuant.
  • Du mesme Curé & de sa chambriere: et de sa laisciue qu'il lauoit : et comment il traicta son Euesque et ses cheuaulx, et tout son train.
  • Du mesme Curé : et de la carpe qu'il achepta pour son disner.
  • Du mesme Curé qui excommunia tous ceulx qui estoyent dedans un trou.
  • De Teiran, qui estant sus sa mule, ne paroissoit point par dessus l'arson de la selle.
  • Du docteur qui blasmoit les danses: et de la dame qui les soustenoit, et des raisons alleguées d'une part et d'aultre.
  • De l'Escossois, et de sa femme qui estoit un peu trop habile au maniement.
  • Du Prestre, et du masson qui se confessoit à luy.
  • Du Gentilhomme qui crioit la nuict, apres ses oyseaux : et du charretier qui fouettoit ses cheuaux.
  • De la bonne femme vefue qui auoit une requeste à presenter, & la bailla au Conseillier lay pour la rapporter.
  • De la jeune fille qui ne vouloit point d'un mary : pour ce qu'il auoit mangé le dos de sa premiere femme.
  • Du bastard d'un grand seigneur qui se laissoit pendre à credit, et qui se faschoit qu'on le sauuast.
  • Du Sieur de Raschault, qui alloit tirer du vin, et comment le fausset luy eschappa dedans la pinte.
  • Du Tailleur qui se desroboit soymesmes, et du drapt gris qu'il rendit à son compere le chaussetier.
  • De l' Abbé de Sainct Abroyse, et de ses moines, et d'aultres rencontres dudict Abbé.
  • De celuy qui renuoya ledit Abbé auec une responce de nez.
  • De Chichouan tabourineur, Qui fit adiourner son beau pere pour se mourir, et de la sentence qu'en donna le Iuge.
  • Du clerc de finances qui laissa cheoir deux detz de son escriptoire deuant le Roy.
  • Des deux poinctz pour faire taire une femme.
  • La maniere de deuenir riche.
  • D'une dame d'Orleans qui aymoit un escolier, qui faisoit le petit chien à sa porte : et comment le grand chien chassa le petit.
  • De Vaudrey, et des tours qu'il faisoit.
  • Du gentilhomme qui couppa l'oreille à un coupeur de bourses.
  • De la damoiselle de Thoulouse qui ne souppoit plus, et de celuy qui faisoit la diette.
  • Du Moine qui respondoit tout par Monossyllabes rymez.
  • De l'escollier legiste, et de l'Apothicaire qui luy apprint la medicine.
  • De Messire Jehan qui monta sus le mareschal, pensant monter sus sa femme.
  • De la sentence que donna le Preuost de Bretaigne, lequel fit pendre Iehan Trubert et son filz.
  • Du jeune garson qui se nomma Thoinette, Pour estre receu à une religion de nonnains : Et comment elle fit saulter les lunettes de l'abbesse qui la visitoit toute nue.
  • Du Regent qui combatit une harangere de petit Pont, à belles iniures.
  • De l'enfant de Paris, qui fit le fol pour iouir de la jeune vefue, et comment elle se voulant railler de luy : receut une plusgrand honte.
  • De l'escollier d'Auignon, et de la vieille qui le print à partie.
  • D'un Iuge d'Aiguesmortes d'un Pasquin, et du Concile de Latran.
  • Des gendarmes qui estoyent chez la bonne femme de village.
  • De maistre Berthaud à qui on fit accroire qu'il estoit mort.
  • Du poyteuin qui enseigne le chemin aux passans.
  • Du Poyteuin, et du sergent qui mit sa charrette et ses beufz en la main du Roy.
  • D'un aultre Poyteuin, et de son filz Micha.
  • Du gentilhomme de Beausse, et de son disner.
  • Du prebstre qui mangea à desieuner toute la pitance des religieux de Beau lieu.
  • De Iehan Doingé, qui tourna son nom, par le commandement de son pere.
  • De Ianin, nouuellement marié.
  • Du Legiste qui se voulut exercer à Lire, et de la harangue qu'il fit à sa premiere Lecture.
  • Du bon yurongne Ianicot, et de Iannette sa femme.
  • D'un gentilhomme qui mit sa langue en la bouche d'une damoiselle, en la baisant.
  • Des coupeurs de bourse, et du Curé qui auoit vendu son blé.
  • Des mesmes coupeurs de bourses, et du Preuost la voulte.
  • D'eux mesmes encores, et du Coultelier à qui fut couppée la bourse.
  • Du bandoulier Cambaire, et de la responce qu'il fit à la Court de Parlement.
  • De l'honnesteté de Monsieur Salzard.
  • Des deux escolliers qui emporterent les cizeaux du tailleur.
  • Du Cordelier qui tenoit l'eau aupres de soy à table, et n'en beuuoit point.
  • D'une Dame qui faisoit garder les coqs sans congnoissance de poulles.
  • De la Pie, et de ses piauz.
  • Du singe qu'auoit un Abbé, qu'un Italien entreprint de faire parler.
  • Du Singe qui beut la medecine.
  • De l'inuention d'un mary, pour se venger de sa femme.
  • Sur le discours des Nouuelles Recreations & Joyeux deuis contenus en ce present liure.
  • Vorsatz
  • Rückdeckel

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